Le 3 mai 1998, je suis de retour de Périgueux et je me remets de mes émotions, se référer au thème « Phénomènes étranges », * Une Soucoupe à Périgueux, une nuit de terreur *.

Ce même jour dans ma boîte aux lettres, je reçois une lettre d’Henri, un ami québécois et à chaque fois que nous nous écrivions, nous vivions des synchronicités communes. Lui aussi vivait certaines expériences comme par exemple, la visite chez lui des  » Men in black « .

Dans son courrier, il m’explique s’être rendu à Montréal quelques jours avant pour assister à une conférence de Kryeon et par la même occasion, il avait acheté un livre  » Terre  » de Barbara Marsiniak. Je souriais car je venais de faire la même chose : présente presque jour pour jour à une conférence de Kryeon et je m’étais procuré le même livre la semaine passée.

Le lendemain, j’invite une amie, Isabelle pour lui raconter mes mésaventures et lui fais part du courrier reçu et de mon énième synchronicité avec Henri. En prenant la lettre dans ses mains, elle me fait cette réflexion « Gabriela ! As-tu remarqué que l’enveloppe n’est ni froissée, ni timbrée, elle est comme neuve ». En regardant d’un peu plus près, je réalise que la lettre était datée du samedi 1 mai alors que dans le village d’Henri, il n’y a pas de relevé les week-end. Comment avait-elle pu atterrir dans ma boîte le 3 mai sachant qu’il faut une moyenne de 5 à 6 jours pour arriver en France. Mystère.

Et pour couronner le tout, ce 1 mai était le lendemain de mon expérience avec une soucoupe volante.


Gabriela d’Asti