Ayant vécu de très nombreuses expériences paranormales depuis ma petite enfance, j’ai compris que certaines manifestations qui se sont présentées à moi comme « Jésus, les maîtres ascensionnés, les archanges, les anges, les guides, les symboles, la matérialisation, la dématérialisation, les OVNI, etc. », ne provenaient pas que de la lumière comme le New-Age et les religions pourraient nous le faire croire. L’ombre sait nous illusionner, c’est pourquoi, aujourd’hui, je reste vigilante quant à leur provenance.


Pour le réveillon de 1999, je proposai à une amie, de passer le réveillon avec moi, la sachant seule ce soir-là ce qui n’était pas dans ses habitudes. Elle accepta volontiers.

A l’époque, je me reliais régulièrement au Comte de Saint Germain auquel je ne crois plus aujourd’hui, parce qu’avec le temps et mes expériences, j’ai compris que ces maîtres ascensionnés ne sont que des êtres de l’ombre se cachant derrière la lumière.

Il est 21h30, nous parlons de la pluie et du beau temps et je lui demande si elle souhaitait que j’appelle le comte de Saint Germain pour voir s’il allait se manifester et nous faire un signe. Elle, qui aimait toute forme de manifestation était ravie de vivre cette expérience. Après l’avoir invoqué durant une dizaine de minutes, nous reprenons notre conversation.

La veille, j’avais acheté un nouveau téléphone et tout en discutant, je voulais enregistrer dans mes contacts les noms de mes amis. Ce téléphone qui était éteint, s’allume tout seul et deux dates apparaissent sur l’écran, ce qui est impossible sur un téléphone. La première était le 28 mai et la deuxième le 26 juillet ! Je vous rappelle que nous sommes le 31 décembre. Nous faisons un bond sur notre chaise en réalisant que le 28 mai est la date d’anniversaire d’Annie et le jour de la fête de Saint-Germain, vous pouvez le vérifier dans le calendrier. Le 26 Juillet est la Sainte Annie, vous pouvez aussi le vérifier.

Mais cela ne s’arrête pas là. Plus tard, je regarde l’heure sur le téléphone, il était 22H34. Il était bien cette heure-là, sauf qu’Annie me fait la remarque suivante : Rien ne te choque ? Je n’avais pas tilté sur le coup, mais en 99 Annie avait 22 ans et moi 34. Drôle non ? Pas vraiment.


Gabriela d’Asti